tu es un dos
c’est comme un mur
j’aimais tant tes yeux
je les aime
encore
tu partiras
mais pas comme ça
pas en restant là
inaccessible soudain
autre
ou si moi je partais
en regardant l’heure
vite vite
je ramasserai mes
mots
mes cliques
les claques reçues
de la vie
août 2015