paysages de train éternel recommencement monter descendre et vu que je ne serai jamais grande … non jamais tu ne seras depuis elle essaye d’être octobre 2015
et tu as vu mon dos seul le ventre était nu au loin regarde où ça ? demain ? la peau est une fleur à fleur la tête tourne à cent à l’heure et mes pensées sont restées dans ton armoire en bois en toi la peau une fleur à fleur j’ôte mes peaux insensibles...
négatif positif regarde donc comment sommes nous faits à souhait fragiles tributaires des états d’âme qui ? moi je vis demain par dessus le vide je tends des fils nous … vous … moi … sous mes pieds … non je regarde la rive deux épaules...
non je ne reparlerai pas de moi pas à ma place je suis décadrée tu m’as vue je cherche la porte je porte cet œil double ce ciel trouble ce trouble oublie-moi emmêlée cordons ombilicaux pendue aux lèvres muettes livides je ne suis pas pa pa apte à te concevoir...